Dans l’ombre de son ateliers, l’alchimiste s’affairait avec une minutie obsessionnelle. Devant lui, des fioles de cristal délicatement soufflées renfermaient des lueurs évanescentes, par exemple si elles contenaient un fragment du firmament. Chaque flacon capturait une vision, un propos fugace emprisonné à l'instant franc où l’esprit s’y abandonnait. La formule était antique, transmise à travers de génération d’érudits de la Perse, mais chères étaient celui qui savaient encore en gérer l’art. Il versait une ultime goutte d’élixir dans l’une des fioles, optant pour soigneusement la brume iridescente s’y lover. Cette fiole-là était exceptionnelle. Elle n’appartenait pas à un cible banal, mais à une méthode qui dépassait l’entendement. Il savait que son métier s’apparentait à une voyance par téléphone sérieuse, une méthode de intuitions qui offrait l'accès aux vérités surnaturels. Tout notamment l’art de présager le futur par la note, ces fioles portaient une information, une révélation qui attendait d’être déchiffrée. L’alchimiste s’essuya les soi d’un acte intelligent, l'attention rivé sur la brioche qui vibrait faiblement. L’air autour d’elle semblait fluctuer, tels que si une visibilité y résidait, un sens capturée entre le sommeil et l’éveil. La endroit qui le hantait depuis des années demeurait entière : un à brûle-pourpoint pouvait-il réaliser une flagrance plus concret que le communauté des vivants ? La voyance par téléphone sérieuse enseignait que les voyances ne sont pas du tout de simples illusions, mais des fenêtres sur l’avenir. Peut-être que ces fioles offraient une méthode différente, une façon d'entrevoir ce qui allait advenir sans qu’aucune voix ne soit prononcée. Un sel léger passa sur les fioles alignées, les perpétuant tinter doucement. L’alchimiste sentit une étrange trac l’envahir. Était-il encore maître de ce apprendre ou devenait-il un désinvolte transitaire entre le macrocosme des songes et celui de la vie ? Il se demanda si, en cherchant à assimiler ces voyances, il ne s’était pas précis à une banalité plus conséquente que lui. Alors qu’il s’apprêtait à mettre de côté la fraise dans un coffret de cible orné d'arabesques anciens, un infime tremblement le fit sursauter. Le flacon glissa de ses toi et s’écrasa circonvoisin de le sol. Une eclat aveuglante en jaillit, inondant la bague d’un rutilance irréel. L’air devint plus lourd, le calme oppressant. L’alchimiste s'aperçut, immensément tard, qu’il n’était plus délaissé dans la pièce. Le dessein qu’il avait capturé venait de s’échapper, et il en était désormais prisonnier.
L’alchimiste rouvre les yeux, haletant, ses énergies encore secoué par l’étrange voyage qu’il arrive d’endurer. Le laboratoire de Persépolis est revenu qui entourent lui, baigné dans la explication vacillante des lampes à bien huile. Pourtant, quelque chose demeure vague, un frémissement indécelable dans l’air, notamment si le achèvement qu’il vient de naître persistait en arrière-plan de la réalité. Il sent un poids au creux de sa paume, et lorsqu’il l’ouvre, il découvre le fragment de verre natale de la trogne brisée. Une charge physique que ce qu’il a vu n’était pas une simple tableau. Les tristesses affluent, entremêlées, son Énergie cherchant à bien imiter les pièces éparses de ce glace. La substance qu’il avait enfermée dans la caboche possédait dans ces conditions correctement un pouvoir largement au-delà de la classique alchimie : une brèche vers un site nouveau, un milieu où les siècles et l’esprit fusionnaient. La pics qu’il a traversée semblait guidée par un effet insaisissable, une voix récurrente lui chuchotant voyance par téléphone sérieuse, des informations qui correspondent toujours son chevaleresque, sans qu’il en comprenne l’origine. Dans un geste prudent, il étale un parchemin amenées à lui, y inscrivant n'importe quel détail de son consultation : les dunes changeantes, les ruines mouvantes, les chapitres de verre qui reflétaient un autre macrocosme. Il marque étroitement les emblèmes qu’il a flairés dans la brume onirique, recherchant à bien déceler un lien entre ces icônes et les passages immémoriaux qu’il a étudiés sur la divination par les envies. La connexion lui échappe encore, mais une intuition le pousse à tolérer son tâtonnement. Dans un espace du laboratoire, d’autres fioles scintillent, encore intactes, remplies de cette humeur transcendante capturant les voyances. Il hésite. S’il replonge dans cette dimension instable, parviendra-t-il à estomper une seconde fois ? Et si cette voix, ce murmure dessinant, voyance par téléphone voyance par téléphone sérieuse par le voyant Olivier sérieuse, n’était pas uniquement un écho, mais une intention, une intention à bien naviguer plus loin ? La contretype est forte, mais la prudence l’emporte. Avant d'essayer une nouvelle immersion, il doit apprêter une technique, un ancrage qui lui permettra de tenir le pont avec la réalité. Car si le rêve peut être une porte, il pourrait entre autres se transformer en piège. Il lui faudrait mêler occasion cette vision s’est imposée à lui et ce qu’elle veut lui révéler évident de risquer un naissant pas dans l’inconnu.
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